ANIMATION AGENDA
ANIMATION AGENDA
Le SYVOFA est le SYndicat des VOlailles Fermières d’Auvergne. Il représente les acteurs de la filière avicole auvergnate qui se sont réunis sous l’étendard de la marque « Volailles fermières d’Auvergne ». Il garantit la production de volailles de tradition, élevées en plein air. L’obtention pour les volailles fermières d’Auvergne du Label Rouge et de l’Indication Géographique Protégée attestent de la pertinence de son action.
Bien entendu, le SYVOFA mène aussi des actions de communication pour faire connaître la qualité de ses produits. Là, l’idée est d’offrir un agenda aux bouchers volaillers. Un grand agenda qui permet de noter plein de commandes mais aussi un agenda qui, au fil des pages, explique pourquoi les volailles fermières d’Auvergne sont un vrai produit de terroir, de qualité supérieure. L’exercice est simple : il suffit de raconter comment fonctionne la filière.
EXTRAITS DE TEXTES
EXTRAITS DE TEXTES
Volaille sachant gratter…
Un vieux proverbe auvergnat veut que « chaque poule vit de ce qu’elle gratte ». Depuis que le SYVOFA a été créé, en 1967, ce n’est plus tout à fait ainsi. Si, par habitude, les volailles élevées par le SYndicat des VOlailles Fermières d’Auvergne continuent de gratter de-ci de-là, leurs conditions d’existence ont bénéficié des acquis d’un progrès intelligent : poulaillers spacieux, alimentation 100 % végétale, exempte de graisses et farines animales ainsi que d’activateurs de croissance, 2 beaux m2 en plein air par volatile, nichés en plein cœur de l’Auvergne… Elles bénéficient d’un environnement et d’une qualité de vie étudiés pour leur procurer un bien-être optimal. Syndicat regroupant près de 2 000 personnes, le SYVOFA a édicté une rigoureuse charte de qualité, pour un cycle de production parfaitement maîtrisé et contrôlé. Une Indication Géographique Protégée et le fameux Label Rouge témoignent de la justesse de cette démarche. Pour le plus grand plaisir de vos clients.
Volaille sachant gratter…
Un vieux proverbe auvergnat veut que « chaque poule vit de ce qu’elle gratte ». Depuis que le SYVOFA a été créé, en 1967, ce n’est plus tout à fait ainsi. Si, par habitude, les volailles élevées par le SYndicat des VOlailles Fermières d’Auvergne continuent de gratter de-ci de-là, leurs conditions d’existence ont bénéficié des acquis d’un progrès intelligent : poulaillers spacieux, alimentation 100 % végétale, exempte de graisses et farines animales ainsi que d’activateurs de croissance, 2 beaux m2 en plein air par volatile, nichés en plein cœur de l’Auvergne… Elles bénéficient d’un environnement et d’une qualité de vie étudiés pour leur procurer un bien-être optimal. Syndicat regroupant près de 2 000 personnes, le SYVOFA a édicté une rigoureuse charte de qualité, pour un cycle de production parfaitement maîtrisé et contrôlé. Une Indication Géographique Protégée et le fameux Label Rouge témoignent de la justesse de cette démarche. Pour le plus grand plaisir de vos clients.
L’oiseau peint
Volaille exotique, la pintade se distingue par sa chair ferme et colorée, riche en promesses pour les gastronomes avertis. Promesses confirmées au contact des papilles gustatives : son goût unique, parfumé, en fait un met de choix. Ce goût venu d’ailleurs, la pintade le doit peut-être à ses origines : apparue en Afrique, elle a vu s’élever les pyramides en Égypte et se tenir les premiers Jeux Olympiques de la Grèce antique. Grande voyageuse, elle doit son nom français au portugais « pintada », signifiant « Oiseau peint ». Et pourtant… Au SYVOFA, nous nous demandons parfois si elle ne vient pas d’Auvergne, tellement elle se sent bien chez nous. Fortes de leur « Label Rouge » obtenu en 1970, elles ont été 800 000 à s’épanouir dans notre région en 2002 : 800 000 belles pintades riches en magnésium, calcium, fer (3 fois plus que le poisson), protéines (autant que la viande rouge) et, fin du fin, peu caloriques.
L’oiseau peint
Volaille exotique, la pintade se distingue par sa chair ferme et colorée, riche en promesses pour les gastronomes avertis. Promesses confirmées au contact des papilles gustatives : son goût unique, parfumé, en fait un met de choix. Ce goût venu d’ailleurs, la pintade le doit peut-être à ses origines : apparue en Afrique, elle a vu s’élever les pyramides en Égypte et se tenir les premiers Jeux Olympiques de la Grèce antique. Grande voyageuse, elle doit son nom français au portugais « pintada », signifiant « Oiseau peint ». Et pourtant… Au SYVOFA, nous nous demandons parfois si elle ne vient pas d’Auvergne, tellement elle se sent bien chez nous. Fortes de leur « Label Rouge » obtenu en 1970, elles ont été 800 000 à s’épanouir dans notre région en 2002 : 800 000 belles pintades riches en magnésium, calcium, fer (3 fois plus que le poisson), protéines (autant que la viande rouge) et, fin du fin, peu caloriques.
La preuve par Aucert
Le SYVOFA regroupe 350 éleveurs, 3 couvoirs, 2 fabricants d’aliments et 4 abattoirs. 2 000 personnes produisent chaque année 5,5 millions de volailles. Leur credo : offrir à vos clients des volailles de qualité supérieure. Pour attester de cette qualité à tous les échelons de la production, chacun se soumet aux contrôles rigoureux d’un organisme certificateur indépendant reconnu par les pouvoirs publics : AUCERT. Démonstration.
– Croisement : AUCERT vérifie la conformité des croisements de souches devant donner naissance à un poussin à croissance lente ;
– Couvoirs : AUCERT vérifie l’identification des poussins « Label Rouge » ;
– Éleveurs : AUCERT contrôle les conditions d’élevage : parcours herbeux de 2 m2 par animal ; alimentation comprenant un minimum de 80 % de céréales ; faible densité et confort dans les poulaillers…
– Fabricants d’aliments : AUCERT contrôle les formules de fabrication : 100 % végétales, 80 % de céréales…
– Abattoirs : AUCERT vérifie l’âge d’abattage des animaux (81 jours minimum pour les poulets), les conditions d’abattage et la qualité de présentation des produits.
– Chaîne du froid : AUCERT contrôle le respect absolu de la chaîne du froid, des ateliers de surgélation des abattoirs à la livraison sur les points de vente.
– Goût : AUCERT procède à des tests organoleptiques pour s’assurer des qualités gustatives supérieures des volailles produites.
La preuve par AUCERT
Le SYVOFA regroupe 350 éleveurs, 3 couvoirs, 2 fabricants d’aliments et 4 abattoirs. 2 000 personnes produisent chaque année 5,5 millions de volailles. Leur credo : offrir à vos clients des volailles de qualité supérieure. Pour attester de cette qualité à tous les échelons de la production, chacun se soumet aux contrôles rigoureux d’un organisme certificateur indépendant reconnu par les pouvoirs publics : AUCERT. Démonstration.
– Croisement : AUCERT vérifie la conformité des croisements de souches devant donner naissance à un poussin à croissance lente ;
– Couvoirs : AUCERT vérifie l’identification des poussins « Label Rouge » ;
– Éleveurs : AUCERT contrôle les conditions d’élevage : parcours herbeux de 2 m2 par animal ; alimentation comprenant un minimum de 80 % de céréales ; faible densité et confort dans les poulaillers…
– Fabricants d’aliments : AUCERT contrôle les formules de fabrication : 100 % végétales, 80 % de céréales…
– Abattoirs : AUCERT vérifie l’âge d’abattage des animaux (81 jours minimum pour les poulets), les conditions d’abattage et la qualité de présentation des produits.
– Chaîne du froid : AUCERT contrôle le respect absolu de la chaîne du froid, des ateliers de surgélation des abattoirs à la livraison sur les points de vente.
– Goût : AUCERT procède à des tests organoleptiques pour s’assurer des qualités gustatives supérieures des volailles produites.
Le beau label
Paradoxe : nos volailles fermières d’Auvergne arrivent sur vos étals parées d’un beau rouge Label alors qu’elles ont passé leur existence – comme le prouve leur Indication Géographique Protégée – dans la verdure auvergnate. Un Label Rouge… élevé au vert, en quelque sorte. Aux effets bénéfiques de notre environnement préservé s’ajoutent ceux du cahier des charges Label Rouge, pour donner naissance à des volailles d’exception. Celui-ci énonce cinq lois fondamentales : « N’élever que des races rustiques, réputées pour leur croissance lente et la qualité gustative de leur chair ; tout élevage sera fermier, en plein air ou en liberté, avec de grands espaces herbeux et ombragés ; fournir aux volailles une alimentation saine et équilibrée, 100 % végétale, avec 75 % de céréales ; les élever deux fois plus longtemps que les volailles standards pour une chair ferme, goûteuse et peu grasse ; enfin, entretenir une sécurité sanitaire optimale, confortée par un contrôle systématique. »
Le beau label
Paradoxe : nos volailles fermières d’Auvergne arrivent sur vos étals parées d’un beau rouge Label alors qu’elles ont passé leur existence – comme le prouve leur Indication Géographique Protégée – dans la verdure auvergnate. Un Label Rouge… élevé au vert, en quelque sorte. Aux effets bénéfiques de notre environnement préservé s’ajoutent ceux du cahier des charges Label Rouge, pour donner naissance à des volailles d’exception. Celui-ci énonce cinq lois fondamentales : « N’élever que des races rustiques, réputées pour leur croissance lente et la qualité gustative de leur chair ; tout élevage sera fermier, en plein air ou en liberté, avec de grands espaces herbeux et ombragés ; fournir aux volailles une alimentation saine et équilibrée, 100 % végétale, avec 75 % de céréales ; les élever deux fois plus longtemps que les volailles standards pour une chair ferme, goûteuse et peu grasse ; enfin, entretenir une sécurité sanitaire optimale, confortée par un contrôle systématique. »
Petit poulet contre l’ours
D’aucuns voudraient faire croire qu’il n’y a pas d’alternative au proverbe suivant : « il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ». C’est faux. La poule et le poulet ont apporté leur modeste contribution pour faire passer la même idée et ce, dans le monde entier. Au SYVOFA, nous pensons qu’il est temps de leur rendre justice… Et que cesse l’injuste monopole de l’ours. Jugez-en plutôt…
Proverbe québécois : « Il ne faut pas compter ses poulets avant qu’ils ne soient éclos »
Proverbe australien : « Ne compte pas tes poules avant de leur avoir coupé la tête »
Proverbe guadeloupéen : « Ne comptez pas les œufs dans le derrière d’une poule »
Petit poulet contre l’ours
D’aucuns voudraient faire croire qu’il n’y a pas d’alternative au proverbe suivant : « il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ». C’est faux. La poule et le poulet ont apporté leur modeste contribution pour faire passer la même idée et ce, dans le monde entier. Au SYVOFA, nous pensons qu’il est temps de leur rendre justice… Et que cesse l’injuste monopole de l’ours. Jugez-en plutôt…
Proverbe québécois : « Il ne faut pas compter ses poulets avant qu’ils ne soient éclos »
Proverbe australien : « Ne compte pas tes poules avant de leur avoir coupé la tête »
Proverbe guadeloupéen : « Ne comptez pas les œufs dans le derrière d’une poule »
Nouvelle année ?
Voilà, l’année se termine… L’occasion de vous souhaiter une excellente nouvelle année. Que celle-ci réponde à toutes vos attentes et qu’elle soit riche en bonheurs, en succès…
Souvent, la fin de l’année est une période propice aux bilans, aux remises en question, aux nouvelles résolutions ; aux nouveaux départs. Au SYVOFA, nous n’échappons pas à la règle. À chaque fin d’année, nous faisons le bilan. Nous réfléchissons à l’année suivante, et nous décidons… de ne rien faire ! Ou plutôt, de continuer comme avant. De continuer à élever nos volailles en plein air, de continuer à les nourrir avec une alimentation 100 % végétale, sans activateurs de croissance, composée d’au minimum de 80 % de céréales, de continuer à tout faire pour mériter notre Label Rouge, de jouer la carte de la transparence… Parce que nous ne connaissons pas de meilleure façon d’élever des volailles et de proposer des produits de qualité. Bonne année…
Nouvelle année ?
Voilà, l’année se termine… L’occasion de vous souhaiter une excellente nouvelle année. Que celle-ci réponde à toutes vos attentes et qu’elle soit riche en bonheurs, en succès…
Souvent, la fin de l’année est une période propice aux bilans, aux remises en question, aux nouvelles résolutions ; aux nouveaux départs. Au SYVOFA, nous n’échappons pas à la règle. À chaque fin d’année, nous faisons le bilan. Nous réfléchissons à l’année suivante, et nous décidons… de ne rien faire ! Ou plutôt, de continuer comme avant. De continuer à élever nos volailles en plein air, de continuer à les nourrir avec une alimentation 100 % végétale, sans activateurs de croissance, composée d’au minimum de 80 % de céréales, de continuer à tout faire pour mériter notre Label Rouge, de jouer la carte de la transparence… Parce que nous ne connaissons pas de meilleure façon d’élever des volailles et de proposer des produits de qualité. Bonne année…